mercredi 27 avril 2011

Stand alone zone, un spectacle un peu trop original...




Stand alone zone prévoit d'être un spectacle innovant, combinant la danse contemporaine et le théâtre. Ce spectacle présente en fait un monde futuriste avec des décors audiovisuels.


Les personnages sont innovants tel que le doctor grafbec, qui comme son nom l'indique est un médecin, il a une tête d'oiseau avec un long bec, mais qui a un corps d'humain avec de longues pinces au bout des doigts (tel que Edward aux mains d'argents). Il y a aussi l'apparition d'un gros loup noir tout d'abord représenté par video projection puis par des interprêtes. Les spectateurs rencontrent plusieurs personnages mythiques ainsi qu'un enfant chinois malade avec une énorme tête qui était l'objet de l'intrigue.


Les interprêtes portent des costumes que l'on a déjà vue, et cette histoire peut nous rappeler certains films ou dessins animés et bandes dessinés japonaises. Il y a peu de danse, mais surtout de bref mouvements, les personnages parlent un langage inconnu composé de plusieurs langues et de bref sons électroniques qui n'aide pas à la compréhension de l'histoire malgré les sous-titres parfois présents. Les scènes et les chorégraphies sont répétitives et donnent des impressions de longueurs malgré le fait que certaines sont très différentes les unes des autres.


Les spectateurs a donc du mal à suivre le cours de l'histoire, et cet entassement de détails voulant sortir de l'ordinaire créer une distance entre les acteurs et les spectateurs. En revanche, les personnages et l'ambiance rendent les personnages mal à l'aise et provoquent parfois un sentiment d'inquiétude et de dégoût. Mais toute cette technologie n'étoufe t-elle pas un peu le spectacle?

Morgane.T


Bienvenue dans un Monde un peu "trop" virtuel



Un spectacle haut en couleurs et aux formes futuristes, des personnages caricaturaux avec des exagérations au niveau des costumes, dans un décor qui rappelle un jeu vidéo:
Nous voilà devant Stand Alone Zone, un spectacle qui s'adresse aux personnes dont l'imagination déborde et aux amoureux de bande-dessinée vivante. C'est un monde entre le réel et le fantastique, un mélange de danse moderne qui suscite des sentiments nouveaux au théâtre, comme la perplexité, l'angoisse et le suspense. Plusieurs étapes, comme différents niveaux d'un jeu vidéo, qui nous transporte à chaque fois dans un nouveau décor et un nouveau contexte. Cependant, ces images futuristes et cette atmosphère technologique ne plaisent pas à tout le monde, en effet Stand Alone Zone perd le charme du théâtre classique, et prend vite une tournure cinématographique. Cela est dû au mélange de la langue inconnue, de la danse qui s'efface à cause de la 3D.
En effet, ce spectacle dépend énormément de la technologie et d'un matériels trop lourd, ce qui à tendance à écrasé la présence humaine, et qui se manifeste par le peu de dialogue et de danse sur scène. Enfin, il y a une perte total du contact entre le spectateur et l'acteur, tout ceci nous éloigne largement du théâtre, ce qui le rend morbide.
Le décor de Stand Alone zone est un mélange, il y'en a 2 types:
-le décor réel avec de vrais objets et personnages qui est peu présent dans la pièce.
-le décor imaginaire, technologique en 3D, projeté sur un écran avec des sous-titres.
Il est très présent dans la pièce on se croirait dans un jeu vidéo.

L'histoire commence avec un bébé difforme, qui pour se soigner devra prendre une potion.Les péripéties de la quête du précieu médicament sont souvent répétitives et mettent du temps, pour arriver au but (quête) !
C'est un spectacle abstrait (complexe) qui fusionne entre la danse et le cinéma, qui nous transporte dans un rythme futuriste

C'est un spectacle était assez comique; l'ambiance de la salle était assez vivante avec un bon arrière plan et une histoire mystérieuse.
Un décor assez sombre qui suscite de la peur chez le spectateur, des costumes assez surprenant comme la scène du docteur corbeau.

En conclusion, c'était un spectacle ennuyeux, pas intéressant et difficile a comprendre. Le spectacle aurait pu être réussi cependant il est assez complexe et n'est pas déstiné a tout types de personnes , ou de tranche d'âges !

mardi 26 avril 2011

Stand Alone Zone

Stand Alone Zone fait fureur


Il existe une cité futuriste dans les nuages, habitée par des personnes au comportement étrange.


Un autre monde

La découverte de Stand Alone Zone de Système Castafiore vous étonnera grâce à un travail graphique absolument inouï. Pour nous faire traverser de nombreux paysages, le metteur en scène, Karl Biscuit, fait appel à des décors de synthèse. Les quatre danseurs de la pièce s'expriment par un langage corporel et par des onomatopées. Ils ont certes un niveau élevé en danse cependant ce n'est pas le point culminant de la pièce. La gestuelle favorise la plongée dans un univers de mystères. A tout cela, s'ajoute des costumes très sophistiqués, bien que donnant un air de déjà vu et une musique angoissante représentant des bruits étranges et la parole des personnages.
C'est un monde à la frontière du réaliste et du fantastique.

Une histoire peu ordinaire

A première vue, on s'attend à un spectacle vivant de danse mais malgré nos attentes, on se retrouve surtout avec une pièce futuriste basée sur l'audio-visuel tel que le cinéma. De plus, l'incompréhension ressentie au début est due au manque de liaisons et de rapport entre les scènes. On se rend compte que la fin de l'histoire est convenue. Mais, le jeudi 17 mars 2011, le public était tout de même réceptif et surtout angoissé !

Donc malgré l'immense travail scénographique, cet univers futuriste peut ne pas plaire à tout le monde. De plus, l'histoire n'était pas tout à fait cohérente.


Mathilde, Elodie & Cynthia.

Objectif atteint pour Stand Alone Zone: SURPRENDRE !

La lumière s'éteint, un écran multimédia apparait sur lequel on peut lire "scène 1" : nous voilà plongés dans un univers futuriste, embrumé, dans une atmosphère glauque. Deux personnages approchent... Ils dansent de manière robotique... Ils parlent une langue inconnue...

Bébé aux allures de monstre, corbeau en effroyable medecin...
Stand Alone Zone de la compagnie Système Castafiore mis en scène et composé par Karl BISCUIT, et chorégraphié par Marcia BARCELLOS ne perd rien pour attendre et nous impose rapidement son univers, dans lequel nous resterons jusqu'à la fin du spectacle.

Le spectateur s'attend à passer un moment en compagnie de danseurs, mais au final l'univers fantastique dégagé par le jeu entre comédiens et écran multimédia prend le dessus. Cette mise en scène mèle projection, danse contemporaine avec des costumes colorés et très recherchés le tout dans un décors plutôt minimaliste qui laisse place à cette atmosphère sombre et oppressante, en oubliant parfois la danse qui se retrouve noyée dans cette mise en scène novatrice. L'intrigue, l'appréhension ainsi que l'aspect touchant sont les maîtres-mots de ce spectacle.


Bruits sourds, langues inconnues, histoire loin du réalisme, univers de science fiction, Stand Alone Zone a forcément atteint un objectif : Surprendre! à tous amateurs de spéctacle novateur, vous ne serez pas déçus!

Théâtre ou monde virtuel ? Stand Alone Zone.









On fait du théâtre un cliché, on s'imagine tout de suite que c'est une pièce classique comme celle de Molière ou autres écrivains célèbres, alors à quoi s'attendre avec une pièce de théâtre portant un nom aussi étrange que Stand Alone Zone ?
Des les premières minutes, on voit tout de suite que c'est décalé et qu'elle sort de l'ordinaire, notamment grâce à des mouvements qui s'enchaînent sur des sons sourds et angoissants, qu'elle casse les conventions collées au théâtre !




Mais ne peut-on pas être déçu avec ce changement soudain quand on s'imagine quelque chose qui au final n'est pas ?
Le décor est très futuriste, peut être trop technologique, imposant ce qui rend l'espace de la scène réduit. Elle est virtuelle et est assortie aux personnages qui eux sont étranges, décalés, mais on sent qu'ils sont pleins d'amour, ils arrivent à nous le transmettre à travers la scène.
Cette pièce surprend beaucoup, c'est un mélange de danse, de court métrage avec des sons, des bruits inquiètants ce qui crée une atmosphère mystérieuse, étrange et peut être un peu ... GLAUQUE.





On peut croire que cette oeuvre est inspirée de films fantastiques tels que Silent Hill ou le Labyrinthe de Pan avec des langues qui nous sont inconnues : un mélange d'anglais, français et une autre langue.
Heureusement que l'histoire est accompagnée de sous-titres qui nous permettent de comprendre la mise en scène, le coeur de l'histoire, sans cela, pas sûr que ce soit compréhensible.








Nouveau genre théâtral ? Nouvelle vision du théâtre ? Ce qui est sûr c'est que cette pièce donne une nouvelle image au théâtre.

Lola.S , Caroline.M.

Stand Alone Zone : un spectacle de danse revisité

Stand Alone Zone est : un spectacle de danse? non. Du théâtre danse? peut être. Un Film? sûrement, mais un film vivant.

Pourquoi tant de questions ? Ce spectacle vous plonge dans un univers peut être un peu trop mystérieux et sombre qui remet en question notre vision du spectacle de danse.
On reste perplexe devant ce mélange des genres. On s'attend à de la danse abstraite et contemporaine et l'on découvre une vision futuriste du théâtre où le décor bouge au fil de l'histoire. Les images projetées attirent l'attention et nous éloignent parfois de l'essentiel. Mais qu'est ce qui est vraiment essentiel? Certains diront les sons futuristes presque robotiques, d'autres diront les moments de surprises comme lorsque l'image prend vie sur scène , ou bien même cette danse très épurée et différente. Stand Alone Zone déborde d'une originalité qui risque d'en noyer plus d'un. L'atmosphère dérangeante et parfois glauque nous laisse sur notre fin avec une histoire qui reste très cliché.
Cependant les amateurs d'originalité et de changement crieront au génies de chorégraphes et de danseurs futuriste et talentueux. Les autres seront déçus par ce spectacle trop original à la limite du grotesque et crieront alors à l'imposture.

S
tand Alone Zone n'appartient à aucun genre: c'est un ovni théâtral à voir, apprécier ou détesté.

Stand Alone Zone : "Attention! Spectacle bizarroïde"




Stand Alone Zone ? Ce titre étrange nous embarque dans une énigme, nous ne savons pas à quoi nous attendre. Danse ? On ne pourrait pas qualifier ce spectacle comme de la danse mais plutôt comme un enchaînement de postures quasi-robotiques qui a moins d'importance que les décors visuels en 3D omniprésents dans le spectacle créé par Système Castafiore qui est composé de Marcia Barcellos (chorégraphe et danseuse) et Karl Biscuit (metteur en scène, infographe et directeur musical). Ce spectacle extravagant peut plaire à un public de tout âge. La mise en scène est avant-gardiste par le mélange entre réalité et images de synthèses. L'histoire qui met en place un enfant malade dont il faut trouver le remède n'a pas grande importance, elle est surtout là pour donner une raison aux agissements des différents protagonistes. Les acteurs évoluent dans un monde fantastique et futuriste ce qui peut surprendre les adeptes du théâtre classique. L'originalité de Stand Alone Zone est très appréciable et recommandable aux personnes qui ne trouvent pas plaisir à assister aux pièces plus formelles.

On en manquerait presque d'oxygène...

"Four, eight... Four, eight...". La connexion est interrompue. Prenez un monstre, mélangez-le à un enfant, laissez-le reposer dans une maladie rare... et voilà Nitch. Sa tête disproportionnée et sanglante effraierait n'importe qui, mise à part sa mère. Instinct maternel oblige, c'est elle qui va tout faire pour l'aider, jusqu'à traverser les éprouvantes neuf chambres... Il faut se rendre à l'évidence, le voyage sera long et périlleux. Bienvenus en l'an 2813, à Tarkovgrad. Prêts pour l'expédition?




Le spectacle StAnD AlOnE ZoNe joue avec les décors, trompe l'oeil, allie fictif et réel, à la manière d'un dessin animé. Des jambes arquées, des paroles d'une langue inconnue, des costumes fantaisistes et des rires enfantins donc, mais aussi une bande son à vous donner des frissons. Les "tic tac" des gouttelettes de l'usine désaffectée, le vrombissement de l'interminable ascenseur et la sombre musique accompagnant l'étrange bête aux allures de loup féroce vous plongent dans une atmosphère mystérieuse et oppressante...
Les costumes assez colorés tranchent sur les décors futuristes aux couleurs sobres. Même la chambre du bébé est morbide! Décors tout aussi modernistes dans leur conception puiqu'ils se révèlent être des vidéos projetées sur toile. Les images défilent, font corps avec les acteurs, racontent une histoire, puis c'est le noir.
Le metteur en scène et compositeur Karl BISCUIT ainsi que la chorégraphe Marcia BARCELLOS ont élaboré un spectacle technique: parfaite synchronisation des danseurs, chorégraphies maîtrisées, intéressante utilisation de l'espace, enchaînement rapide des différentes scènes, quoiqu'un peu trop nombreuses. Une scène mémorable, celle du théâtre désaffecté, où, de rouge et noir vêtue, la mère, bestiale, ses cheveux de jais tombant en cascade sur ses épaules. Sa danse est libre, ses gestes lents, souples, mais conçis. Elle virevolte dans sa robe longue devant un public fantôme, mais peu importe, bercée par la musique, elle semble voler.





Un spectacle ouvrant de nouvelles perspectives à la science-fiction qui peut autant plaire que décevoir, notamment pour quelques bémols comme le faible volume sonore des paroles des acteurs ou les incohérences entre certaines scènes. En outre, la danse est secondaire, mais pas négligeable puisqu'elle apporte une touche d'émotion à l'oeuvre. Que serait un bébé sans gestes tendres? Et une tigresse sans animosité? Un spectacle sans valeur. On peut cependant regretter la place avantageuse des décors (vidéos projetées) et des costumes au détriment du sixième art, la danse. N'y aurait-il pas là un amer reflet de notre société basée sur les apparences?




SaBrInA Da CoStA
& CéLiA PaUlMiN

Voyage dans l'univers Castafior

Doktor Gravbeck, mi-Homme mi-corbeau au regard persant est une des créatures tout droit sortie du spectacle Stand Alone Zone de Castafiore . Ce personnage très étrange reflète parfaitement l'univers du spectacle: dérangeant, intriguant, morbide, et parfois même glauque . Le spectacle met en scène le personnage de Nitch, un monstrueux enfant atteint d'un mal incurable, et ses parents.Ainsi , les thèmes de la maladie et de la mort sont omniprésents et ce grâce au Doktor Gravbeck . Les décors et les effets sonores ( décors d'usine, bruits métalliques,...) renforce l'aspect inquiétant du spectacle.

Cette pièce est comme un livre d'images dont les pages se tourneraient et nous emporteraient en un bref instant dans un univers fictif et totalement surprenant. Les lumières tamisées de couleur sombre , les bruitages aquatiques et bestiaux , les musiques futuristes ainsi que les projections d'images où les paysages s'entremèlent nous font voyager dans une pièce en 3D . Le système Castafiore fait preuve de beaucoup d'imagination , les techniques employées nous étonnent à chaque instant et les costumes captivants nous plongent dans un monde imaginaire. Lors de la représentation, le suspense nous envahit même si nous devinons déjà la fin d'une histoire trop convenue.

Stand Alone Zone

Stand Alone Zone : spectacle peu commun ?


Stand Alone Zone est un spectacle de danse

racontant l'histoire d'un jeune enfant malade . Mais ne

vous attendez pas à voir une représentation de danse :

car dans Stand Alone Zone les passages sont plus

gestuels que dansés . Cet ovni entre le théâtre et la

danse a un décor 3D omniprésent étonnant , avec une

mise en scène étrange . Il y a différents types de sons

métalliques qui l'accompagnent en faisant naître un

sentiment d'inquiétude tout au long de la

représentation.

De plus ils créent une atmosphère angoissante et

glauque . Cette pièce futuriste est un mélange de fictif et

de réel . Il y a aussi un mélange de langues

incompréhensibles.


Ce spectacle ayant une imagination hors du commun

a tout de même certains défauts tels que les costumes

très communs et des scènes très longues . Non

seulement le scénario de Stand Alone Zone ne tient pas

mais il a également une fin convenue .


La compréhension de ce spectacle est compliquée

car il est difficile de rentrer pleinement cette histoire

anormale .


Pharathi et Octave


SYSTÈME CASTAFIORE A ENCORE FRAPPÉ !

Un enfant monstrueux, dégoulinant de fleurs. Ce bébé dérangeant atteint d'une maladie inconnue est le héros de Stand Alone Zone, pièce construite au croisement du fictif et du réel.
Avec ses décors sombres et ses musiques calmes, mais qui suscitent de la stupeur chez le spectateur, cette pièce nous plonge dans un univers futuriste et innovant.
Karl Biscuit réussit un mélange surprenant avec les écrans et le jeu des acteurs sur scène. Mais cela diverti le spectateur qui fini parfois par oublier les comédiens.

Stand Alone Zone étant un spectacle de danse contemporaine, mais de danse, pas trace !
On peut saluer le jeu des comédiens qui sont très peu nombreux mais qui représentent une multitude de personnages sur scène, leur capacité à changer de costume avec rapidité est remarquable.
La nouvelle création du Système Castafiore, Stand Alone Zone, spectacle qui mêle théâtre, images numériques en 3D et danse, est actuellement en représentation au théâtre des Louvrais à Pontoise.


Stand Alone Zone : Un monde virtuel ?

Stand Alone Zone

Le spectacle Stand Alone Zone était assez comique l'ambiance de la salle était vivante .
En effet , la mise en scène était assez bien réussie puisqu'on croirait qu'il y avait plusieurs acteurs mais en réalité il n'y en avait que quatre.
L'arrière plan était plaisant, par exemple lorsqu'il y avait une vidéo projetée sur scène ou se trouvait le docteur Corbeau et qui entre ensuite sur scène.

Le spectateur s'enlise car les différentes transitions étaient assez incompréhensibles puisque l'histoire était mystérieuse. Les différentes scènes du spectacle n'avaient pas de suite plausible.
Pour un spectacle de danse, sa ne danse pas, du moins pas comme on peut s'y attendre car il y avait plus une histoire qu'autre chose.
Pour les costumes, ils étaient assez étonnant notamment dans la scène du '' bébé " (monstre).

Spectacle fade, ennuyeux et incompréhensible. Ce spectacle Stand Alone Zone aurait pu être réussi mais peu à peu on entre dans une ambiance lourde et pénible.

vendredi 15 avril 2011

Stand Alone Zone une conte fictif...

Ce spectacle futuriste se base sur l'histoire d'un enfant , Nitch ,atteint d'une maladie dite incurable.


Sa mère se lance à la recherche du seul remède possible dans la Zone Interdite.




Les effets spéciaux jouent un rôle très important dans cette pièce, il semblerai qu'on soit dans un domaine cinématographique car un écran numérique contribu à marquer l'atmophère sombre et étrange de cette histoire par le visionement des décors : des cités volantes, zone interdite, usine désaffectée, forêt étrangère ect.


La relation entre l'écran et les personnages nous fait croire que c'est derniers ne font qu'un, ce qui rend la pièce à la fois réelle et iréelle.




L'avantge de l'écran numérique est de faire apparaitre des personnages imaginaires; comme un géant, docteur Gros bec, un homme avec une tête d'oiseau, un loup aux dimentions étranges, des boxeurs aveugles ect; ou un grand nombre,impossible à représenter sur le plateau.




Ces créatures qui représentent les étapes du périple de la mère de l'enfant souffrant de la maladie dite incurable, sont les gardiens des douzes chambres qui font office d'obstacles.



Malgré la langue employée, mélange de langues de différentes horizons, on comprend le sens de l'histoire, grâce aux sur-titres ,qui nous informent du lieu et du temps, passé et présent, et aux gestuelles des personnage qui s'expriment en une sorte de danse moderne.
En ce qui concerne les costumes, ils rapellent la cultures de certains pays ( le chapeau de Napoléon, un chapeau avec un drapeau de l'United Kingdom, des costumes rappelant le thème asiatique, la fraise autours du cou de Nitch).




Stand Alone Zone est une pièce hors norme qui nous laisse indécit du début à la fin, son atmophère spéciale ne change ne pas tout au long de la pièce.


Loin des spéctacles conventionnels de danse, elle ressemble plus à un conte revisité.


Elle peut captiver comme déplaire selon les goûts.


Lorène & Perle. H